Iran
On April 28, 2010, the Islamic Republic of Iran was elected to the
United Nation’s Commission on the Status of Women (CSW). Possibly the
world’s worst abuser of women, the Shariah-ruled country in
which the fate of women and girls is left in the lecherous hands of
misogynistic mullahs had been given membership on a commission founded
to protect women’s rights and promote their equality. There was little
media coverage of the announcement. And there has been little effort to
prevent or denounce this obscene situation. But a few voices in
Congress, some women human rights leaders, and, most poignantly, Iranian
women themselves, have challenged the moral equivalency and cowardly
silence of those that have failed to support women’s rights in Iran.
Non possono indossare colori, non possono tingere i capelli, non possono
abbronzarsi nei solarium, non possono stare in pubblico in compagnia di
un uomo che non sia un marito o un parente, e da oggi non possono
sciare da sole.
Iran: ferme condamnation des attaques organisées à l’acide sur des femmes, en raison de leur habillement « non conforme ».
Donkeys and women have no place in Iran's parliament, lawmaker says - LA Times
NUOVA LEGGE – Iran. In parlamento, si discute una legge
che limiterebbe di gran lunga la libertà di spostamento delle donne, in
particolare per quanto riguarda i viaggi all’estero. In realtà, la legislazione in merito è già restrittiva fino ai limiti dell’impensabile: attualmente, infatti, perfino le donne maggiorenni hanno bisogno del permesso del padre anche solo per richiedere i documenti per l’espatrio. Quelle sposate, invece, devono fare riferimento al marito. La nuova legge prevederebbe in più la confisca del passaporto
di una donna all’aeroporto nel caso in cui il suo tutore (che sia il
padre, il marito o qualunque figura maschile rilevante per lei) decida
di opporsi a un viaggio.
Une jeune femme de 25 ans est détenue depuis plus de 100 jours en
Iran. Son crime ? Avoir tenté d’assister à un match de volley-ball
masculin.
After elections, Iranian women's demands are forgotten
Despite women's attempts to find a voice in Iran's politics, their presence has been minimal and cosmetic
Manifestazione di donne iraniane. Foto di Nuccia Decio scattata a Teheran nel 2010 ©
Essere donna in Iran, storie di lotta quotidiana
En Iran, des photos de femmes non voilées sur Instagram peuvent coûter cher
ISLAM Instagram est encore autorisé en Iran, mais le voile est lui obligatoire...
L’Iran aime Instagram, mais avec modération. Huit personnes liées au
milieu de la mode et accusées de propagation de « culture
anti-islamique », notamment pour avoir publié des photos de femmes non
voilées sur Instagram, ont été arrêtées en Iran, selon le chef du
tribunal chargé de la cybercriminalité.
Iran: Woman beats up cleric for telling her to cover up
Uninvited wardrobe advice is never a good idea. Unfortunately for Iranians, though, it's pretty much a given, since the Islamic Republic has strict dress codes on everything from jeans to high heels and necklaces to haircuts.
Women have it worst: they are obliged by law to cover their body and hair in public, and risk a public reprimanding by morality police if they're judged to be immodestly dressed.
Recently, one Iranian woman got fed up of being told what to wear. Really, really fed up.
L’Iran non cambia. ‘Squadre per la moralità’ a caccia delle donne troppo occidentali
Une récente campagne Facebook invitant les Iraniennes à retirer leurs voiles a été condamnée par la frange conservatrice de la société. Mais derrière la question du hidjab se joue une guerre plus large autour des droits de la femme, entre progressistes et conservateurs. Ces derniers redoutent l'évolution des mentalités d'une partie grandissante du pays.
Des Iraniennes
participent à une manifestation le 16 mai à Téhéran pour le respect de
la loi qui impose de porter un voile islamique.Photo AFP
La campagne intitulée « libertés furtives pour les femmes Iraniennes »,
lancée le 3 mai, a attisé la colère d’une frange de la société. Le
groupe invitait les femmes à poster des photos d’elles sans leur hidjab
sur Facebook. Il a recueilli les faveurs des Iraniennes avec 60 000 likes en
l’espace de quelques heures. Mais son instigatrice, Masih Alinejad,
jeune Iranienne exilée à Londres, est devenue en quelques semaines la
cible de tous les réactionnaires – menacée de viol en direct à la
télévision et insultée sur Internet. Des religieux conservateurs ont
dénoncé publiquement le non-respect du port du voile par certaines
femmes dans les rues de la capitale.
La police a lancé une contre-offensive en déployant des agents dans la
capitale pour surveiller les agissements des femmes. Deux manifestations
ont été organisées ces dernières semaines contre le relâchement
vestimentaire. Dimanche, les députés iraniens ont même écrit au
président Hassan Rohani pour lui demander de faire appliquer la loi qui
oblige les femmes à porter un foulard et un long manteau. « L'un des
principaux axes de l'invasion culturelle (occidentale, NDLR) est de
tenter de changer la façon de vivre des Iraniens en ce qui concerne le
voile », écrivent ces 195 élus (sur 290). Ils accusent « le rôle des
télévisions satellitaires occidentales ». « Nous vous demandons de
donner les ordres nécessaires pour faire respecter la loi » qui oblige
les femmes à respecter le voile.
Ces tensions ne sont pas nouvelles, mais elles s'aiguisent, depuis que
Facebook s'en mêle et leur donne une publicité internationale. De
nombreuses Iraniennes arborent de temps en temps un voile léger,
laissant apparaître leur chevelure. Elles osent des vêtements plus
serrés permettant de deviner leurs courbes et préfèrent des tuniques mi
longues au long manteau de rigueur ou au tchador traditionnel.
« Lorsqu’il fait chaud, on a toujours porté des voiles plus fins et plus
colorés dans les villes, assure Asal Bagheri Griffaton, sémiologue
iranienne, chercheuse et chargée de cours à l’université
Paris-Descartes. Les femmes en Iran ont toujours voulu être à la
mode. Lorsque les manteaux courts étaient en vogue, nous les avons
adoptés. » Un comportement qui n’a jamais été du goût des milieux
conservateurs puisqu’il est contraire à la loi islamique en vigueur dans
le pays depuis la révolution de 1979. « La police des mœurs est
toujours intervenue pour réprimander ces écarts aux codes vestimentaires
», ajoute-t-elle.
Iranienne, une menace pour les pays du Golfe
Mais si la question du voile n’est pas prête d’être tranchée, les femmes sont de plus en plus nombreuses à revendiquer la liberté de s’habiller. « Le vêtement est une façon de se socialiser dans l’espace public. Lorsqu’on porte un tchador, cela bloque le processus, analyse Bernard Hourcade. Or, aujourd’hui, les Iraniennes sont de plus en plus éduquées et les revendications autour du voile ne sont plus l’apanage d’une élite occidentalisée. Le débat s’invite dans plusieurs couches de la population », poursuit-il. « Les droits de la femme en Iran avancent pas à pas. Et, l'Iranienne éduquée est une menace en devenir pour les pays du Golfe. Car si ce modèle naissant s’exporte, toute la société patriarcale de ces pays, qui écrasent la moitié de leur population, s’effondrera », conclut le géographe.
Les Iraniennes en révolte
Leggi contro le donne in Iran – Amnesty International ha reso noto un importante rapporto che riguarda la contraccezione delle donne in Iran:
sono state avanzate due proposte di legge che potrebbero ledere ancora
di più la libertà delle donne. Le donne avranno accesso limitato alla
contraccezione, di conseguenza subiranno discriminazioni ancora più
gravi a lavoro (nel caso in cui ne abbiano uno) se non hanno figli.
Ovviamente questi disegni di legge, se approvati, avranno delle ripercussioni gravissime sulla libertà, sui diritti, sulla discriminazione e soprattutto sulla salute delle donne . Il governo iraniano ha adottato la
“strategia” di limitare la contraccezione delle donne, e quindi di
indurre in modo forzato un maggior numero di gravidanze, con
l’intenzione di sopperire al problema della bassa natalità in Iran.
Women are the victims of this
patriarchal culture, but they are also its carriers. Let us keep in mind
that every oppressive man was raised in the confines of his mother’s
home.
Shirin Ebadi
Shirin Ebadi
A n’en pas douter, la chute du régime sanguinaire des ayatollahs en Iran sera provoquée par les femmes combattantes.
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