Suleiman al-Halabi
Suleiman al-Halabi, also spelled Soleyman El-Halaby (Kurdish: Seleman Ous Qopar, Arabic: سليمان الحلبي ), (1777–1800 was a Syrian Kurdish theology student in Cairo who assassinated French general Jean Baptiste Kléber, leader of the French occupation forces in Egypt. He was tortured by burning his hand to the bone before being executed by impalement.
Early life
Suleiman al-Halabi was born in 1777 in Kukan village, Afrin. His religious father, Mohammad Amin, worked in the profession of selling butter and olive oil.In 1797, al-Halabi's father sent him to Cairo, Egypt to study Islamic sciences at Al-Azhar University.
Assassination, trial and execution
On June 14, 1800, al-Halabi approached Kléber's home in the guise of a beggar seeking an audience with Kléber. He was 23 years old when he assassinated the commander of the French campaign on Egyptian soil. After they shook hands, he violently pulled the general toward him and stabbed him four times with a stiletto. Kléber's chief engineer tried to defend him and was stabbed but not mortally wounded.He hid in a nearby park where he was found by French soldiers, who searched him and found his stiletto. He was arrested and tortured, his right arm burnt to the bone while he denied any relationship with Sheikh Al-Sharkawi or the popular resistance movements. He was tried and sentenced to death by impalement.
Aftermath
Today his skull and stiletto are on display at the Musée de l'Homme in Paris, under the caption, "Criminal," written in French.An Arab nationalist play based on his assassination of General Kléber, "Sulayman Al-Halabi," was written by Egyptian playwright Alfred Farag in 1965. In Farag's interpretation, Al-Halabi's motives have more to do with popular Arab revolt against foreign occupation and tyranny, rather than political assassination for financial gain.
Modern Drawing of Suleiman al-Halabi
Suleiman al-Halabi, scritto anche Soleyman El-Halaby (curdo: Seleman Ous Qopar, arabo: سليمان الحلبي), (1777-1800 era un Curdo studente siriano di teologia a Cairo che assassinò generale francese Jean Baptiste Kléber, capo delle forze di occupazione francesi in Egitto. fu torturato bruciando la mano fino alle ossa, prima di essere impalamento.
Primi anni di vita
Suleiman al-Halabi nacque nel 1777 nel villaggio di Kukan, Afrin. Il padre era un religioso, Mohammad Amin, che ha lavorato come venditore di burro e olio d'oliva.
Nel 1797, il padre di al-Halabi lo ha mandato al Cairo, in Egitto per studiare scienze islamiche presso l'Universtà di Al-Azhar.
Assassinio, processo e esecuzione
Il 14 giugno del 1800, al-Halabi si avvicinato casa del generale Kléber sotto le mentite spoglie di un mendicante alla ricerca di una audiione con Kléber. Lui aveva 23 anni quando ha assassinato il comandante della campagna francese sul suolo egiziano. Dopo aver stretto la mano,lo tira violentemente il generale verso di s e lo pugnala quattro volte con uno stiletto. L'ingegnere capo di Kléber cerca di difenderlo ed è colpito anche lui, ferito ma non a morte.
Si nascose in un parco vicino dove è stato trovato dai soldati francesi, fu trovato anche il suo stiletto. Arrestato è torturato, il suo braccio destro bruciato fino alle ossa, mentre ha sempre negato qualsiasi rapporto con lo sceicco Al-Sharkawi o altri movimenti di resistenza popolari. Fu processato e condannato a morte per impalamento.
conseguenze
Oggi Il suo cranio e stiletto sono in mostra al Museo dell'Uomo di Parigi, sotto la didascalia, "Criminal", scritto in francese.
Una interpretaione nazionalista araba sull' assassinio del generale Kleber, "Sulayman Al-Halabi," fu scritto dal drammaturgo egiziano Alfred Farag nel 1965. Nell'interpretazione di Farag, i motivi che hanno spinto Suleiman ad agire sonoda collegare conle diffuse rivolte arabe contro l'occupazione straniera e la tirannia , Nulla a che fare Invece con l'assassinio politico a scopo di lucro.
Soleyman el-Halaby.
"Souleymân-El Haleby, assassin de Kléber".
Soleyman ben Mouhammad Amine el-Halaby (aussi connu sous le nom de Suleiman al-Halabi ou encore Soliman El Halaby) (kurde : Seleman Ous Qopar, arabe : سليمان الحلبي ) (né en 1777 et mort en 1800), était un étudiant kurde syrien ayant assassiné le général Kléber lors de la campagne d'Égypte de Napoléon Bonaparte le 14 juin 1800.
Biographie
Soleyman al-Halabi est né dans le village de Kukan près d'Alep d'une famille kurde appelée Ous Qopar. Son père, un religieux du nom de Mohammad Amin, travaillait dans la vente de beurre et d'huile d'olive.En 1797, le père de Soleyman al-Halabi l'envoie au Caire en Égypte pour étudier les sciences islamiques à l'Université al-Azhar.
À l'âge de 23 ans, Soleyman al-Halabi assassine, en Égypte, le général de l'armée française Jean-Baptiste Kléber, qui venait de remplacer Napoléon à la tête de la courte aventure de conquête de l'Égypte. Al-Halabi s'est fait passé pour un mendiant pour pouvoir approcher Kléber et il lui a donné des coups de stylet.
Le dramaturge égyptien Alfred Farag a écrit, en 1965, à propos de l'assassinat du général Kléber par "Sulayman Al-Halabi". Dans l'interprétation de Farag, on apprend que les motivations de l'assassinat étaient basées sur la révolte populaire arabe contre l'occupation étrangère et de la tyrannie, plutôt que sur des raisons politiques ou de désir de gain financier.
Sentence
En raison de cet acte, le conseil de guerre le condamne à mort, ainsi que ses complices, avec exécution le jour des obsèques de Kléber (17 juin). Les complices se font trancher la tête au cimeterre avant d'être empalés sous les yeux de Soleyman. Celui-ci est condamné au supplice du pal, dont l'exécution est décrite en ces termes par Claude Desprez :« L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eût vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira. »Aujourd'hui, le crâne et le stylet de Soleyman al-Halabi sont exposés au Musée de l'Homme à Paris, sous le titre, "criminel" !
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